Mali
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a soutenu les sanctions de le CEDEAO et de l'UEMOA contre le Mali. Antonio Guterres estime que les autorités de Bamako doivent présenter un calendrier électoral dans les plus brefs délais pour espérer voir ses sanctions être levées de manière progressive.
En effet, les présidents africains de la sous-région ont fermé leurs frontières et suspendu le Mali de leurs instances après le chronogramme que les militaires leur ont présenté suite aux assises de la refondation, pendant lesquelles la population a apporté son soutien à une prolongation de la transition, jusqu'en 2026.
L'Onu ne ferme pas la porte au Mali, Antonio Guterres n'a pas annoncé de date de rencontre avec les autorités maliennes, qui de leur côté ont appelé leurs homologues de la sous-région à revoir leurs sanctions."Il est absolument essentiel que le gouvernement malien présente un calendrier acceptable du point de vue des élections", a déclaré le chef de l'ONU lors d'une rencontre avec des journalistes.
Bamako a appelé à des manifestations pour dénoncer ses sanctions.
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